000 01845nam a2200217 i 4500
997 0 0 _e2
008 251008s2007 fg ||||g |||| ||| ||fre d
017 _anovembre 2007
020 _a78-2070119097
080 _a77
100 _aPinet, Hélène
_eaut
_9313457
245 _aRodin
_b: et la photographie
_c/ Hélèene Pinet
250 _a
260 _aParis
_b: Gallimard
_c, 2007
300 _a224 p.
_b: il. cor
_c; 27.6 cm
520 3 _aAuguste Rodin a, tout au long de sa carrière, entretenu un rapport passionné et encore méconnu avec la photographie. Bien avant tous les autres artistes, il a compris l'importance de fixer l'instant créateur. Soucieux de mieux faire connaître ses sculptures, il ouvre dès 1880 les portes de son atelier à de nombreux photographes tels Charles Bodmer, Victor Pannelier et D. Freuler. D'autres, comme Eugène Druet et Jacques-Ernest Bulloz, suivront eux aussi, quelques années plus tard, la genèse de ses œuvres : c'est un univers poétique qui émane de leurs images, parfois retouchées par Rodin au crayon et au pinceau. A cette profusion d'images documentaires succèdent, au début du XXe siècle, les visions plus personnelles des photographes pictorialistes. Stephen Haweis et Henry Coles, Jean Limet et Edward Steichen portent un autre regard sur son œuvre. Pour eux, la sculpture est un sujet d'interprétation et non de reproduction. C'est leur vision qui nous séduit, et plus seulement l'œuvre. Ces photographies, rassemblées ici ; pour la première fois, offrent un voyage inédit et inattendu dans l'œuvre de Rodin. Elles nous permettent d'en saisir les secrets et toute la diversité, des premières approches de l'artiste à la sculpture achevée.
600 _aRodin
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650 _aFotografía
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